Hier, la compagne de mon père est tombée, je lui ai prêtée mon kimono pour mettre sous sa tête.

démon-tion
ne reconnais pas cette violence qui pourtant est violemment reçue dans ma poitrine, est-ce la puissance qui s'identifie à l'autre puissance ? Comportement rassurant par le fait de reconnaître, d'entendre de vivre sur des enchaînements démon-tions, sans temps morts sans relâche dans un état d'ennui immense.

Voyâge dans le train du retour

Par une vielle dame laissée pour compte dans le train "vous êtes des petites jeunes filles vs ne voyez pas ce que l'on sait plus tard.“ Ce sourire infernal, un accord sur l'expression d'un enfant qui dort la bouche ouverte et qui donnerait envie aux peintres de dessiner son expression et un sourire qui va passer d'un visage à l'autre très rapidement avec des échanges de regard comme obligé de consentir par le simple fait d'être humain avec d'autres êtres humains à cette gêne imminente, (en fait pas imminente mais contenue depuis plusieurs jours dans le cœur d'une amie) très large sourire ciselé par un rayonnage de dents blanches, lumière de Porquerolles et chaleur immense ciel qui tranche le regard. J'ai entendu une très belle expression après l'une des soirée du festival, avoir un pivert dans la tête le lendemain d'une cuite. (dixit Aurélio, jeune compagnon du tour de France sur Marseille)


Nanachronique




belle femme assise en face de moi, nous avons parlé dans un autre langage, je lui ai montré l'une des pages, c'était Marilyn à la fenêtre d'un avion, elle ne la connaissait pas, lorsque nous nous sommes quittées ses yeux se sont éclairés d'un sourire et son visage est devenu manifique, ses yeux se sont étirés je lui ai fait signe plusieurs fois du trottoir lorsque je suis descendu du bus, je la voyais en transparence de l'autre côté de la vitre.

une femme qui veut souligner son œil gauche, je lui dis que je veux le l'aider à le faire elle me dit non et le trace d'un trait assuré et merveilleux.


six corps ne m'usent
beau moqueur * baume au cœur

aiguille-âge


Tour de Pa-ss-Pa-ss
"Maman, pourquoi t'as pas pris de PAILLE ! (ns sommes dans le train) je veux une paille".
Je lui dis : En voilà une toute petite.
"Mais maman! c'est pas une PAILLE."
Il essaie d'attraper l'invisible chose que je lui tends et l'écrase, il continue :
" Alors je décolle toutes les paillettes de ton sac ! "
Je lui dis : Tu vois, je l'ai changée en paillette ** *
" Mais tu es une menteuse, tu n'es pas magicienne "
Je lui dis : Si, regarde tu as une paillette dans la main.



1 qu'en des 100


pleine de vie
ou aujourd'hui assise dans le RER en face d'un homme ressemblant à Robert Redford plus beau encore avec plus de taches de rousseurs, du même âge, enfin celui que j'imagine qu'il aurait, ou comment je prends mon calepin et je me mets à griffonner
je ne sais quoi ou plus tôt je sais très bien quoi et comment je maintiens mes cheveux pour qu'ils couvrent la moitié de mon visage et que je n'ai pas à la regarder car trop envie, ou comment je me lève arrivée à Antony, il me laisse passer et nous nous sourions. ‎( et le visage de Liz Taylor en couverture de libé posé sur le siège à côté de moi pendant le voyage)


“A vos souhaits”
et dans ce RER, pour me sauver de ma vie à la merci d'un texto, sans voix, et sans réponse possible au désancrement apparent d'un amoureux, cet homme qui vient s'asseoir près de nous, qui nous enferme dans le carrée des quatre places par deux grandes toiles, deux grands châssis entourés de papier bulles, une poignée en bois claire astucieusement conçue. Pablo a faim, il se prépare sa banane qu'il dénude entièrement de sa peau, j'éternue, un éternuement parfaitement dessiné, dont je suis fière, et j'entends : “à vos souhaits”, je ne suis pas sûr de qui cela provient, ce qui me permet de regarder l'homme aux toiles assis en biais face à moi, il a les yeux clairs, et de le remercier. Pablo me demande ce qu'il nous à dit : "à mes souhaits, à vos souhaits“ et nous jouons avec la phrase. La conversation se lie, il est peintre d'origine viennoise venu de Suisse, en résidence et depuis deux jours à Paris, transporte deux toiles restées en souffrance ds une galerie à Sceaux pour un envoi en Corée... il me raconte comment il a fabriqué la poignée et comment il a séparé les deux toiles pour qu'elles se protègent l'une l'autre. on parle un peu de Paris de ce que je fais, de l'Opéra Electro, cela lui plaît, dans la conversation mon visage parle autant que moi, devenant extrêmement mobile. Aux Halles, voilà. Il est grand, je le conduis au travers des couloirs, des tapis roulants, des escaliers mécaniques jusqu'à son changement, je marche vite, Pablo court lancé devant. l'Homme porte ses deux grandes toiles, je lui dis qu'il fait plus chaud aujourd'hui.


"c'est un peu golgothus mais la catwalk est là mixed w/ Cocteau" http://www.johngalliano.com/

Un jeune homme voyageur
Aujourd'hui, o café, je suis entrée, j'ai pris place au comptoir, un jeune homme en retrait s'est avancé pour prendre son verre de bière, j'ai commandé un allongé, je ne le regarde pas mais je sais qu'il est beau, son visage souriant, aux lèvres affinées, blond, un chapeau,
il termine sa bière, je m'éloigne un peu car trop proche de lui pour boire mon café, il termine sa bière il se recule et revient vers le comptoir avec son sac à dos, un sac de voyage qu'il installe sur son dos. Un grand coquillage est glissé entre les brides, au centre, comme souvenir manifeste d'une longue route et de paysages merveilleux, de son bonheur à voyager, de sa liberté à nous traverser, il s'en va, le barman me sert mon café, je ne peux plus le suivre, je sens le possible infini de lui parler, la joie et l'envie de le suivre, je l'aime déjà, j'aime ce que sa liberté me fait, je le regarde descendre la rue, s'adresser à une personne, lui faire partager sa joie, son énergie, lui demander s'il est bien dans la bonne direction. Il l'est.
(16-01-11)

"ce que j'ai dans ma tête / ce que j'ai entendu est assez terrifiant
mais je veux aussi au clair de lune, dans les bras, embrasser
- la contradiction de la vie tout en sachant que vous êtes mourant lentement
et ne voulant pas, de ne pas vouloir
lâcher prise,
la tragédie ulitmate, du vide, de perte, mais aussi de
la lumière, l'énergie et passions brûlantes à jamais dans les atomes ... " Jeffrey Louis-Reed à propos des idiotes



Jeffrey, sais-tu ce que j'ai rêvé cette nuit... Hélène et moi avions été condamnées à être enfermées chacune dans un sarcophage noir aux parois épaisses. nous devions mourir un temps mais sachant que probablement ce n'était pas pour toujours. nous étions allongées chacune dans notre cercueil en attente que le couvercle soit reposé et Hélène me prend la main un instant pour un baiser furtif sur le bout de mes doigts. je crois que je me réveille à ce moment là. que la suite dit que le couvercle est posé. lov


Nous étions au carrefour, je lui dis regarde comme s'est beau. la projection d'un branchage, le mouvement de sa graphie sur une zone libre en béton gris, de la façade d'un bâtiment. D'abord il ne voit pas il n'entend pas puis je lui répète pour qu'il entende, il regarde et sur le temps de quelques secondes en mouvement il atteint son émotion, je le sens comprendre et être touché par quelque chose me concernant.


morcelé / mort scellée


Compliment/Complément


Ai croisé un homme renard.

les cheveux blonds bouclés prolongés par un renard roux enroulé autour de son cou. nous nous sommes regardés, ai baissé les yeux juste au bon moment, faisceaux de regards. Plaisir d'une pensée incarnée. le sourire renarde, en coin, un peu de ma féminité emportée par cet homlou.


amoureusement dénoyautée


la blancheur du ton vague à l'océan


aube.stacle, tout à coup il apparaît quelque chose * **


1 qu'on sait quand

le temps aux idées noires de se poser

écouture * tissus et musique


s'y vers-tu

a son ventre qui la brûle au bûcher de l'angoisse *

Je me pointe et je m'adoucis
le soir même où je viole l'état de grâce *
autant de reflets que de miroirs
si mon mac était mon miroir je serais une boule à facette *
j'ai les yeux qui palpitent
Se plonge en elle-même
Coupe au champagne son entre-jambe et ses cheveux * ** *
sex-clue
clue
nom féminin singulier (géographie) coupure encaissée entre deux montagnes
Je te hérisse tu me dévisses
Est de ce désordre là
Vient de reconnaître dans son dessin le visage d'une femme qu'elle a rencontrée la veille.
*** gone w/ the wild ** *
Let in L'être in
Signe du présent voyageur
Vagabonde allongée, je rêve ailée, révélée.
Les larmes du crime m'éclaboussent dans ma jungle en saillie *
Maligne de chance *
Les cimes pointes * mon cœur bat double

• Mots sans son, fait mal
• Visite guidée hors des sentiers
• Œuvre utopique
• L'émotion est créatrice d'un mouvement, donc d'un changement, dans le monde du vivant - émouvoir = mettre en mouvement.
• ho{m}mes
• tes yeux me brillent
• ta peau me douce
• tes bras me serrent
• mogly mylogin
• Impulsivre
• Love Letter Shot
• a le temps * haletante
• zoneinterpoétique
l'énergie cinétique est l’énergie que possède un corps du fait de son mouvement. L’énergie cinétique d’un corps est égale au travail nécessaire pour faire passer le dit corps du repos à son mouvement de translation ou de rotation.
* les femmes qui ne bougent pas ont tendance à oublier
* empty shoes fully paint - no noise sounds loud
* rest in progress, work in peace
* un qu'on sait quand
* c'est de bon ton mo sans corps
* as sa sein à son sein et corps chez
* larmes d'acier trempé
* il me reste quelques corps à enjamber
* des mots sans corps
* miroitement * le demi roi te ment

• attentat parallèle *
• nuée * mue
• mon plaisir de tes mots qui parlent
• une étincelle reflet d'étoile ds l'œil
• je t'envoie mon hélicoptère
• ma complice ma pelisse mes coulisses
• eau de vie • ô de vie • ô de rêverie
• délicieux coin de table pour les fesses d'une femme
• eros in * rose saline
• un cygne noir sur un lac blanc s'enfonçait dans l'espoir de retrouver son temps.
• princess éplorée o cris déchirés fait une tresse à saisir pour la monter * aïe
• gouttelettes de galaxie projetées sur mon lit
• ma noire sœur me compte parmi ses bons amis
• vie o lances -
• vol ka ni queue ni tête
• appuyer sur la touche étoile
j'aimerais avoir un lien (un lieu) un espace pour laisser venir * le monde et sa beauté * le temps me brûle.
• mon rêve veille sur moi

• profile o rayon contour
• la fille neige est tombée en poussière d'étoile sur ton visage
• ciderapileptik
• j'apparais et je disparais
• please watch your step
• there is nothing to see
• if u see something say something
• bodylandescape

• je touche le ciel et tout s'effondre, quel diable je suis !
• ma tour contrôle, je suis la brise qui éclate le verre
• ma proue_§, je t'm (grec) pour l'éclat et le bout de dent
• bonuit mon bas nylon, la couture centrée, klubien

• concordons nö aiguilles //
• ma misfits, je mets deux bouches)traces rouges sur tes joues je t'embrasse encore
• ai rêvé de david bowie toute la nuit et toi, iggy était la nuit ?

• où-vers
• où vers-tü vas nvl aiR ?
• kotakot * ma peau lit ta peau
• bellnuy pour toi ouverte aux chants
• lovailé, mon élan bonnuit *
• bellnuy mon chat brulant, je touche l'étoile(*)
• mes sages de nuy, venez donc sauter dans mon luy louis
• 'v' c chouette * vol (lov)
• bonnuit mon chat, sommeil o bout de mes griffes sans ongle
• lost message in my bed, je le retrouve demain o pieds du lit ou à mes pieds, m'aime si tu ne même plus.
• cherry Mog Eli, je t'embrasse forte amoureusement et langue de cha*t(entre, petit symbole ki ressemble à une langue)te
• sensualité rosechaire
• sur le rebord
• mon immense
• alors, tu es mon danseur ét*i)e
• bonuy my modernman
• bellnuy sablée
• je me calme, le temps redevient présent & Pablo a fait ses premiers pas * * *
• mon loup, mes écailles sont dans le si(lettre trident grec)phon, demain, nous remontons le courant
• Œil, l'ange est lu
• je §ang sue et me liquéfie au sauna
• Xplos ions Positifs
• mon âméclaire, la nuit s'ouvre et tu me déchires
• je rentre ton (txt) intégral dans mon(stre) corps sidéral
• j'avale ton intégral et programme mon corps sidéral
• je rentre à l'intérieur
Mön singulier, notre

pluriel voit le jour

sous un nouvel

Λnge L. §

L o v u pté.

Pensées en habit de toi.

organisons notre enlèvement *

Je t'aime

terriblement.

Vie

nous

ouvre

le souffle)s


• Juliette, plaisir de t'avoir vue samedi, le public entre nous et toi sur scène

• pense-moi : des larmes pour demain et puis tout ira mieux * murs et fenêtres lessivés pour y voir plus clair et passer o travers, l'eau a coulé * je me demande pourquoi je me suis infligée ce morceau de non-sens *


• saute d'un côté à l'autre du miroir

• je me retrouve des deux côtés du mioir

• reflets partagés

• miroitements

une souris dans un labyrinthe se promenait en suivant sa queue *

un sourire dans un labyrinthe se promenait en suivant sa queue *

• ne restons pas sur notre faim * des secondes, puis des minutes de minuit à enchaîner au fil de notre vie *

• pas d'avenir pas d'amour pas d'amour pas d'avenir, des liens des lianes et puis plus rien.

• 100 nuits sang nuit s'en nuit sans nuit s ennuie s'en inouï si sans y nous ici *


• entre deux battements mon cœur ne bat plus

• ils sont beaux ces hommes qui m'habitent

• . . . ces hommes qui me tiennent à cœur . . .


• graissons * glissons

• r.eve.r

• je prends ma moto et je te retrouve sous les arbres pour les regarder tourner et crépiter au dessus de nos têtes

• note d'une panthère sans ongle qui patauge, avec plaisir : écris avec le bout de ta griffe, la touche est fine

• furiosity *

* vie•rage

* Eligator * tu me dévores

* sexe à pile à recharger

* je m'inutilise


* through my www.broken-g-l-a-s-s.blogspot.com/


*oui je serai là, je rêvais depuis tout à l'heure que je me maquillais le visage en noir puis le haut des épaules en cercle jusqu'au dos, hélène était là nous devions monter sur scène pour suzanne t., au fait de nos visages noirs les habitants voulais quitter la ville, ils attelaient leur chariots, nous les rassurions, je me vois dans la glace mon visage est blanc, je vois hélène en contre plan, elle est belle, je crois que c'est moi, nous devons y aller, pour un show à l'occasion d'une vente aux enchères, jules me présente le lot qui m'attendait, entre temps je soupoudre mes yeux de larges paillettes bleues qui glissent le long de mon visage, un sapin de noel en cookie frosten émietté, je le croque à même l'assiette car mon visage est noir, je me réveille, maintenant * et je te vois demain


tu m'impressionnes

ta main pression sur ma peau en décision, tu m'impressionnes

ton empreinte sur mon corps une pression à l'envie

mon corps détendu attend

attend le bout de tes dents *

ton sexe fertile doux et transcendant prend la forme de mon trou *

mon trou a l'envie * je glisse sans où aller, je m'y étends.

le sommeil me retrouve, bouche ouverte, la salive goutte sur l'oreiller,

mon fils vient ensuite se coucher dans mon lit, je suis en colère à l'intérieur, je le ramène et me rendors.


x-traction visuelle - je presse mes paupières de douceur apparaît de l'écume blanche au fond de mes yeux.

sexpression s.x'


Une tristesse qui me pousse au ventre, qui me pousse au cœur, je la cultive, mon corps est un prés ?

prêt pour la salade et les herbes folles bien ancrées ds la terre prisent au vents incapables de remuer leurs bras puisqu'elles n'en n'ont pas *

je ne bouge pas et mon corps me porte, sans mouvement.


est-ce que tout ce que je fais ne se rassemblerait pas sous la forme de tout ce que je fais.


* sub s'tend ce cérébral envahissant *

le son est différent